I-Média n°317 – Eric Zemmour face à la haine politico-médiatique
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
Deux nouveautés identitaires pour nos plus jeunes!
- Détails
- Catégorie : JEUNESSE
GUNNY "Le Premier Voyage" (9.50€ + 3,50€ frais de port)
Découvrez la toute nouvelle aventure de Gunny le petit voilier Viking !
Aidé des éléments de la nature, des animaux, et de son nouvel ami le Chapitaine, Gunny va enfin pouvoir réaliser son rêve le plus cher : naviguer sur les océans ! Une histoire pleine de tendresse, d'espoir et d'aventures pour petits et grands, dans la pure tradition viking.
Sunilde (9.50€+3,50€ frais de port)
Sunilde est une jeune sirène intrépide et curieuse. Elle explore les fonds marins en quête de découvertes et d'aventures, malheureusement elle n'a personne avec qui les partager. Mais un jour, sa rencontre avec l'équipage d'un bateau va changer sa vie... Découvrez ce personnage inédit dans cette aventure dérivée de la série de bande dessinée VIKINGAR, aux cotés de Tenee et ses amis !
Pour toutes commandes:
BIDEN ? par Pierre Vial
- Détails
- Catégorie : REFLEXION
Alain de Benoist déclarait récemment sur un site ami que Trump était le bon choix « faute de mieux ». Certes aujourd’hui les jeux sont faits mais qu’il me permette de lui dire, très amicalement, que pour moi Biden est le meilleur parce qu’il est le pire. Cette formulation demande une explication.
Biden est gâteux, comme l’ont montré certaines de ses déclarations en public et il est mené par le bout du… nez par la métisse installée comme vice-présidente. Biden a pour lui toutes les forces de décomposition de la société américaine : il a été élu grâce au vote ethnique massif des Afro-Américains et des communautés du style LGBT et autres qui haïssent l’Amérique blanche, celle qui par son travail a bâti la puissance américaine.
Il va donc conduire les USA sur la voie de la décadence, tant sur le plan intérieur qu’extérieur. C’est pourquoi ceux qui combattent l’hégémonie américaine et veulent en libérer les peuples ne peuvent que se réjouir de l’élection de Biden. Les braves gens qui ne comprennent pas cela devraient lire Machiavel. Mais là j’en demande peut-être beaucoup…
Pierre VIAL
Fraude massive aux élections américaines pour la victoire de Joe Biden
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
Commémoration du 7 novembre 2020 : l’extrême gauche catalane à la manœuvre
- Détails
- Catégorie : Régions d'Europe
La manifestation du 7 novembre est considérée dans les milieux catalanistes comme la Diada de la Catalunya Nord, la « Journée », au sens d’une journée nationale. En effet, cette date correspond à la signature du traité des Pyrénées, le 7 novembre 1659, par les rois de France et d’Espagne, ce qui a pour conséquences politiques et géographiques le rattachement de la Catalogne du Nord (appellation moderne comme celle d’ailleurs de la très révolutionnaire « Pyrénées-Orientales ») au royaume de France, ce qui occasionne une fracture territoriale avec le reste de la Catalogne. Nous commémorons donc aujourd’hui les 361 ans d’un traité qui n’a ni été décidé, ni été ratifié par les principaux intéressés : les catalans. Cette commémoration donne lieu chaque année à une manifestation revendicative, sauf aujourd’hui qui sera pour cause de confinement « dématérialisée » sur les ondes radio.
C’est sans surprise que cette année la marque de l’extrême gauche vient s’inviter dans une commémoration qui normalement doit dépasser les clivages politiques afin d’unir sur un projet institutionnel commun. La cause première de cette préemption : l’élection de Louis Aliot à la mairie de Perpignan. Ces catalanistes oublient bien vite que lors du conseil municipal du 20 septembre 2018, les élus du Rassemblement National (RN), dans l’opposition à l’époque, ont voté en faveur des subventions annuelles pour les deux écoles Bressola de Perpignan (j’étais présent ce jour-là). C’est sans parler d’un document de campagne de Louis Aliot, diffusé sur sa page de candidat lors des municipales en mars 2020, en faveur de l’aide à l’enseignement du catalan. Par ces attaques incessantes, ces catalanistes chercheraient-ils à ce que l’actuelle équipe municipale RN de Perpignan cesse d’accorder des subventions aux écoles catalanes de Perpignan, afin d’engager une campagne politique et médiatique contre la municipalité ? Nous connaissons tous la pratique de la terre brûlée de l’extrême gauche, un tel comportement retord ne serait nullement étonnant. Ces catalanistes se plaignent dans leur manifeste du 7 novembre 2020, que Louis Aliot veut faire de Perpignan une ville sûre et propre qui serait contraire à son essence même. Ce qui signifie donc que Perpignan est une ville sale où règne l’insécurité, ce qui convient apparemment aux catalanistes toujours prompts à donner des leçons de citoyenneté.
Pour ces gens-là seul compte leur obsession, que dis-je, leur raison de vivre, ou plutôt leur perfusion politique sans qui ils ne pourraient pas exister : l’extrême droite. La lecture du manifeste à ce sujet est éloquente.
Il est bon de rappeler certains points :
1) Pour ces gens-là, tout ce qui n’est pas d’extrême gauche est d’extrême droite ;
2) Le catalanisme leur permet d’exister et surtout de faire vivre une idéologie plus que jamais éculée et qui se fracasse de jour en jour devant la réalité ;
3) Cette minorité agissante qui ne bénéficie d’aucune légitimité pour représenter les nord-catalans introduit dans ce même manifeste du 7 novembre 2020, sensé revendiquer un statut territorial au nom de tous pour notre département, des thèmes qui n’ont strictement rien à voir, comme par exemple l’expulsion de sans-papiers d’un hôtel de Perpignan. Quel rapport avec la revendication territoriale ?
4) Ces gens-là tentent d’importer les problèmes de la Catalogne Sud en Catalogne du Nord, alors que nous avons nos propres difficultés et que les principales préoccupations des habitants de ce territoire ne sont absolument pas axées sur ces problématiques. Elles concernent, comme toujours, une minorité bruyante qui prétend parler au nom de tous.
5) Ces gens-là, qui agglutinent autour d’eux une cohorte de militants issus des rangs des milieux de la gauche extrême à l’affût d’une tribune, nient avec un mépris de classe de plus en plus frappant, absolument toutes réalités politiques et sociologiques de notre société. Ils sont les meilleurs alliés du système jacobin français. Leurs délires, leur sectarisme éloignent les gens du commun des revendications légitimes pour une reconnaissance institutionnelle de notre territoire, du maintien et du développement de notre langue. Pire, ils fabriquent même une opposition virulente.
Si nous voulons avancer sérieusement sur ces thématiques, une nouvelle génération de militants doit émerger afin de reléguer aux poubelles de l’histoire ces crypto-soixante-huitards.
Llorenç Perrié Albanel
I-Média n°316 – Faux mineurs isolés : Zemmour attaqué
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
ABJECTE ASSA TRAORE
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
Célébrée par les medias comme l’icône de l’antiracisme, Assa Traoré brandissait à Paris le 18 octobre, avec ses complices du Comité Vérité et Justice , une pancarte avec l’inscription « RIP Samuel mort en saignant ». Sa façon à elle de marquer la décapitation de Samuel Paty. Bien entendu les medias ont pris grand soin d’étouffer l’affaire. Mais Boulevard Voltaire a su la faire connaître.
Pierre Vial
La légende de saint Hubert
- Détails
- Catégorie : Contes et Légendes d'Europe
Patron des chasseurs, guérisseur de la rage, saint Hubert, dont l'Église célèbre la fête le 3 novembre, est le grand thaumaturge de l’Ardenne. La légende de saint Hubert est aussi l'une des plus belles et des plus célèbres du Moyen Age, car, on le verra, l'histoire, d'après les documents anciens, est bien différente.
D'après la légende, donc, Hubert était le fils du duc d'Aquitaine, Bertrand, descendant du premier roi des Francs, Pharamond. Envoyé par son père à la cour du roi Thierry Ier, à la suite de désaccords avec le maire du palais, Ebroïn, il se réfugia chez son parent Pépin d'Héristal et, là, il épousa Floribane, la fille du comte de Louvain, Dagobert. Alors arriva le miracle célèbre répandu dans toute l'Europe par l'imagerie sacrée.
Crucifié entre les bois d'un cerf
«Tandis que Pépin cherchait à s'attacher son cher Hubert, lit-on dans un vieux récit, Notre Seigneur, en voulant faire une des plus brillantes lumières de son Église, le retira des embarras du siècle d'une manière fort extraordinaire, lui apparaissant crucifié entre les bois d'un cerf, lorsqu'il se divertissait à la chasse dans les forêts d'Ardenne, et lui adressant ces paroles : «Hubert, Hubert, jusqu'à quand poursuivrez-vous les bêtes des forêts et vous amuserez-vous aux vanités du monde ?»
La légende a encore enjolivé la scène, situant l'événement un Vendredi saint, par le fait qu'Hubert, poussé par la passion de la chasse, aurait oublié un tel jour ses devoirs religieux.
D'après un autre récit, c'était le jour de Noël. Un cerf d'une grandeur extraordinaire se leva dans la forêt. Hubert se jeta sur sa trace. «Arrivé à un site qui est maintenant le lieu des guérisons (1), l'animal poursuivi s'arrêta, les chiens n'osèrent avancer, et le Crucifié, dont Hubert désertait le souvenir, lui apparut rayonnant entre les bois du cerf. »
Hubert devint ensuite un saint ermite jusqu'au jour où un ange lui ordonna d'aller en pèlerinage à Rome. Durant le voyage, l'évêque Lambert de Maëstricht fut assassiné, et Dieu révéla au pape qu'il devait sacrer Hubert pour le remplacer. Celui-là refusa d'abord, par humilité, mais soudain les Anges du Ciel parurent en l'air au milieu de l'église, avec les habits pontificaux de saint Lambert. Hubert se soumit et pendant les cérémonies du sacre un ange apporta du Ciel une très belle étole envoyée par la Vierge et saint Pierre, une clef d'or, pendant qu'il célébrait la messe de son sacre.
Ces trois miracles forment le cadre de la légende de saint Hubert (2).
Celui-ci revint de Rome par son diocèse et transporta le corps de saint Lambert de Maëstricht à Liège, qui devint le siège de l'évêché. Premier évêque de Liège, Hubert mourut en 727, et son corps fut plus tard transporté à l'abbaye d'Andage, aujourd'hui Saint-Hubert d'Ardenne, qui fut jusqu'à nos jours le lieu d'un pèlerinage célèbre où venaient se faire guérir tous ceux qui avaient été mordus par un animal enragé.
Le «chasseur noir» de la forêt d'Ardenne
L'histoire est infiniment plus simple. Des origines princières de saint Hubert elle ne dit rien. Elle nous apprend seulement qu'il a été disciple de saint Lambert, qu'il lui a succédé comme évêque, qu'il a transporté le siège épiscopal de Maëstricht à Liège et qu'il est mort de maladie. Le reste sort de l'imagination du peuple et de celle de ses biographes, mais c'est la légende qui s'est imposée et qui est devenue vraiment la réalité.
Le mythe peut s'expliquer ainsi. A cette époque, les solitudes de la forêt d'Ardenne étaient restées en dehors de l'évangélisation chrétienne, et ce fut d'ailleurs un des mérites du saint de convertir les paysans de cette région. Pendant tout le Moyen Âge, l'Ardenne est décrite par les poètes comme un pays étrange et de traversée redoutable. C'était aussi un pays de grande chasse peuplé par les loups, les cerfs et les sangliers. Diane, déesse de la Chasse, y était particulièrement honorée, ainsi qu'en témoignent plusieurs inscriptions.
Mais, chez les Grecs, Diane était également invoquée contre la rage. Il semble donc que saint Hubert ait pris, avec la bénédiction de l'Église, la place de la Diane païenne, à la fois comme patron des chasseurs et comme guérisseur de la rage.
L'apparition miraculeuse d'un cerf crucifère trouve son origine dans des croyances germaniques, bien antérieures au christianisme, concernant la «chasse sauvage». C'était un tourbillon qui passait à l'horizon au-dessus des têtes, avec des bruits étranges. On l'attribuait à un être surnaturel qui chassait dans les nuées avec sa meute. Les nouvelles croyances chrétiennes firent de cette chasse un rite expiatoire. Un grand de ce monde, ayant gravement péché, aurait été maudit et «ce chasseur noir», en punition de ses crimes, devait chasser jusqu'au Jugement dernier.
Toutes ces légendes, tous ces mythes anciens se transformèrent sous l'influence du clergé chrétien et se cristallisèrent autour de la personne de l'obscur successeur de l'évêque de Maëstricht.
Claude Laforêt
Note :
1) A saint-Hubert d’Ardenne
2) La clef et l’étole étaient également les principaux objets dont on se servait pour guérir les victimes de la rage
Sources : Histoire magazine – N° 10, 1980.
- Banque Centrale Européenne : L’OPÉRATION « GRAND RESET » EST LANCÉE !
- I-Média n°315 – Des bobards médiatiques au service de la dictature sanitaire ?
- VERDUN, au sein de l'Empire (962-1089)
- Retourne dans ta patrie
- Reconfinement 2.0 : Macron condamne-t-il la France au chaos ?
- La nuit de Samhain, le chien de Culann
- I-Média n°314 – Deux journalistes menacées de mort par des islamistes
- 2020: Annulation de la table Ronde de Terre & Peuple
- Couverture - TP Mag n°85
- Editorial - TP Mag n°85
Page 628 sur 778