Les flics obligent les manifestants à enlever leur gilet jaune
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Flicaille = racaille (bis)
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Essia Boularès, la suspecte de l’incendie rue d’Erlanger qui a fait de nombreuses victimes
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Extrait du Parisien : Nous étions dérangés par ma voisine qui avait mis la musique très fort chez elle. […] Hier soir [lundi soir] ma compagne est allée frapper à sa porte, et elle s’est fait insulter. Je suis pompier professionnel à la BSPP [Brigade des sapeurs-pompiers de Paris] et c’est pour ça que j’ai appelé le 17, vers 23 h 50. J’ai attendu quarante minutes pour m’entendre dire que ce n’était pas une situation d’urgence. […] Les policiers m’ont dit de partir. Je suis sorti avec ma compagne, je voulais passer la nuit ailleurs. J’ai cru que les policiers l’avaient embarquée donc nous sommes revenus. Mais je suis tombée nez à nez avec ma voisine dans les escaliers. Les policiers étaient repartis. Après leur départ, ma voisine a essayé de défoncer ma fenêtre et ma porte pour se venger. Un voisin m’a expliqué qu’il y avait du papier devant ma porte avec du bois. Elle a dû mettre le feu chez moi pour se venger. Quand je l’ai croisée, elle m’a souhaité bon courage en me disant que j’étais pompier, et que j’aimais bien les flammes. Là, je sens l’odeur de brûlé
L'ex-présidente du Syndicat de la magistrature condamnée à seulement 500 euros !
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Le tribunal correctionnel a toutefois débouté les politiques de droite ou d’extrême droite qui poursuivaient Françoise Martres
Ce trombinoscope affiché dans les locaux du syndicat avait suscité une vive polémique en 2013. L’ancienne présidente du Syndicat de la magistrature Françoise Martres a été condamnée ce jeudi à 500 euros d’amende avec sursis pour injure publique dans l’affaire du « Mur des cons » uniquement au préjudice d’un père de victime, Philippe Schmitt, mais relaxée s’agissant des hommes politiques qui la poursuivaient.
Le tribunal correctionnel a notamment estimé que le délit est bien constitué et que les faits n’étaient pas prescrits, mais a débouté les politiques de droite ou d’extrême droite qui poursuivaient Françoise Martres pour des motifs de forme.
Robert Ménard et le Rassemblement national ont eux été déboutés car leurs plaintes étaient incomplètes. Neuf élus ou ex-élus de droite comme Patrick Balkany et Eric Woerth ont pour leur part été déboutés car leurs plaintes visaient des faits d’injure publique « envers un membre de l’Assemblée nationale » quand le tribunal n’a pu déterminer si l’injure était dirigée contre eux en raison de leurs fonctions ou si elle visait leurs personnes privées.
Les tardives constitutions de partie civile de Nadine Morano, Dieudonné, Philippe de Villiers et Nicolas Dupont-Aignan ont été déclarées irrecevables.
L’image du Syndicat de la magistrature écornée
Le général Philippe Schmitt, dont la fille avait été assassinée par un récidiviste dans un RER, est donc seul à avoir obtenu pleine satisfaction. Pour injure publique contre lui, Françoise Martres a été condamnée à 500 euros d’amende avec sursis, ainsi qu’à lui verser 5.000 euros de dommages et intérêts et 10.000 euros au titre des frais de justice.
L’affaire avait écorné l’image du syndicat et de la magistrature dans son ensemble. Aujourd’hui encore, la droite et l’extrême droite l’invoquent pour dénoncer la partialité supposée de certains magistrats.
Les juges de la 17e chambre correctionnelle ont souligné « que la conception, la réalisation, la publication et la diffusion du "Mur des cons" étaient inconcevables de la part de magistrats, compte tenu de la mission et du rôle particuliers de l’autorité judiciaire dans une société démocratique ».
Lors du procès, en décembre, le parquet avait requis la relaxe de Françoise Martres. Celle-ci n’était pas présente au délibéré.
source : 20 Minutes avec AFP
La Justice est clémente pour les racailles immigrées qui ont pillé et saccagé l’Arc de triomphe
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Arc de Triomphe : De simples amendes pour Mohamed, Oualid et Miloud de Bondy, jugés pour recel suite au pillage du monument
Le 3 décembre, 57 manifestants ont comparu à Paris. Les plus violents courent-ils toujours?
(…)
Trois receleurs de l’Arc de triomphe
Il y a aussi la délinquance d’opportunité de jeunes franciliens, comme l’a signalé le nouveau procureur de Paris Rémy Heitz. Profil qui semble correspondre à un trio d’habitants de Bondy âgés de 21 ou 22 ans, Mohamed, Oualid et Miloud. Ils sont poursuivis pour recel du vol de six pièces dorées issues du pillage au sein de l’Arc de triomphe. Ils ont été interpellés Porte de Pantin, à 3 heures du matin, à bord d’une BMW roulant à vive allure.
C’est à ce moment-là que les policiers sont tombés sur les pièces rangées dans le vide-poches d’une portière. « J’ai acheté ces six pièces pour 60 euros à Bondy, vers 20 heures« , soutient Mohamed, menuisier en intérim payé 1900 euros par mois. Les magistrats ont eu du mal à comprendre le périple de leur soirée. « On s’est garé Porte Maillot, car je voulais m’acheter une paire de pompes à 800 €, rue de Rivoli » , expose, un peu gêné, Oualid, chauffeur-livreur payé 1500 euros par mois, qui vit chez ses parents. La présidente ne cache pas sa surprise. Que l’on puisse investir plus de la moitié de sa paye dans une paire de chaussures lui semble déraisonnable.
« On est bien loin des idées révolutionnaires, c’est un délit aussi sordide qu’opportuniste, lâche le procureur. Le trio de receleurs ne pouvait pas ignorer d’où provenait le vol. Ils avaient même une batte de baseball dans leur voiture afin de protéger leur butin« . « Ces trois jeunes n’ont rien à voir avec les violences de samedi dernier, plaide leur avocate. Ils aiment les boîtes, draguer et acheter des vêtements de luxe. Et seuls deux d’entre eux se sont rendus à Paris ce soir-là. » Le tribunal a pris en compte cet argument : seuls Mohamed et Oualid sont condamnés à 90 jours-amendes, de respectivement 20 et 15 euros.
L'Obs
Un gendarme fait du zèle en humiliant un jeune homme
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Le député LREM d'Ille-et-Vilaine Mustapha Laabid poursuivi pour abus de confiance
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Le parquet de Rennes a annoncé vendredi 1er février avoir décidé de poursuivre pénalement le député de La République en marche de la 1re circonscription d'Ille-et-Vilaine, Mustapha Laabid, "pour des faits d'abus de confiance" commis au préjudice d'une association qu'il présidait. Mustapha Laabid est soupçonné d'avoir "utilisé à des fins personnelles ou indues des fonds de l'association Collectif Intermède". Le montant du préjudice présumé est de 21 930,54 euros, indique le parquet dans un communiqué.
Les faits auraient été commis à Rennes, Paris et Marrakech (Maroc), entre 2015 et fin 2017. Le parquet reproche à Mustapha Laabid d'avoir financé sur les fonds de l'association diverses dépenses personnelles : environ 15 000 euros de repas dans des restaurants, des achats ou paiements dans des commerces, des frais de téléphonie, et des frais d'hôtels.
Les mystères de Brocéliande vus depuis un drone
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