Le Non-Occident Global et la Multipolarité par Leonid Savin
- Détails
- Catégorie : GEOPOLITIQUE
Bien que le monde ait clairement cessé d'être unipolaire, les États-Unis s'efforcent de maintenir leurs instruments de contrôle. De plus, si, auparavant, cela se faisait de manière voilée (le concept de leadership mondial et de multilatéralisme sous Barack Obama), Donald Trump a décidé d'agir de manière agressive, provoquant un grand émoi avec ses déclarations sur le Groenland, le Canada, le Canal de Panama et même l'OTAN, affaiblissant ainsi les liens du partenariat transatlantique. Ce faisant, certaines structures globalistes ont également été attaquées: les États-Unis se sont retirés de l'OMS, ne reconnaissent pas la Cour pénale internationale de La Haye (et la Hongrie s'était retirée de l'institution la veille) et ont également suspendu le financement de l'OMC et d'autres organisations internationales dans le cadre de leurs inspections.
Lire la suite : Le Non-Occident Global et la Multipolarité par Leonid Savin
Le déclin de SWIFT : comment les puissances mondiales échappent au piège du dollar
- Détails
- Catégorie : ECONOMIE
Les Etats-Unis ont utilisé SWIFT comme une arme pour punir leurs ennemis - mais aujourd'hui, alliés et adversaires construisent des voies de sortie pour échapper au système financier mondial dominé par le dollar.
Lire la suite : Le déclin de SWIFT : comment les puissances mondiales échappent au piège du dollar
Samedi à Paris, succès inégalé pour la manifestation commémorative des jeunes nationalistes + vidéo
- Détails
- Catégorie : RESEAU D'ENTRAIDE
Belle réussite samedi 10 mai de la marche commémorative organisée par le C9M (Comité du 9 mai) en mémoire d'un jeune militant, Sébastien, décédé lors d'une charge de police visant à disperser un rassemblement nationaliste contre l'impérialisme américain le 9 mai 1994. Depuis, chaque année au début du mois de mai, le C9M appelle à un rassemblement à l'endroit où ce drame a eu lieu.
Ces cent jours qui ont frappé le monde par Georges FELTIN-TRACOL
- Détails
- Catégorie : Décryptage
Investi 47e président des États-Unis d’Amérique le 20 janvier 2025, Donald Trump a atteint le centième jour de son mandat le 30 avril dernier. En dix décades, le locataire de la Maison Blanche a déjà bouleversé son pays, l’économie mondiale et les relations internationales. Dès le premier jour de sa présidence, il a signé vingt-six executive orders qui correspondraient en France à des ordonnances gouvernementales. Par comparaison, en 2021, Joe Biden en signa dès la fin de son investiture le 20 janvier 2021… neuf ! Cent jours plus tard, ce sont finalement cent quarante-trois décrets présidentiels qui ont été pris. Lors de son premier mandat en 2017, surpris par sa victoire face à Hillary Clinton et peu soutenu par les caciques proto-démocrates d’un parti républicain soumis aux injonctions de la gauche culturelle, Donald Trump n’avait signé que vingt-quatre décrets présidentiels en une centaine de jours.
Lire la suite : Ces cent jours qui ont frappé le monde par Georges FELTIN-TRACOL
Nikolai Troubetskoï : la critique de l'eurocentrisme russe par Leonid Savin
- Détails
- Catégorie : POLITIQUE
Le 16 avril marque le 135ème anniversaire de la naissance du prince Nikolaï Sergueïevitch Troubetskoï, linguiste et scientifique hors pair, l'un des fondateurs de l'eurasisme. Il est entré dans l'histoire comme l'un des pionniers de la critique de l'eurocentrisme. Bien que les slavophiles aient raisonné sur une base similaire avant lui dans le conflit qui les opposait aux occidentalistes, la critique de Troubetskoï (et des Eurasiens) était plus profonde et s'appuyait sur un programme positif qui affirmait la nécessité de construire une nation commune avec les peuples touraniens (turcs, ougriens) sur la base d'une histoire commune et d'une proximité repérable dans leurs diverses visions du monde.
Lire la suite : Nikolai Troubetskoï : la critique de l'eurocentrisme russe par Leonid Savin
L'évaporation du christianisme
- Détails
- Catégorie : RELIGION
Bergoglio nous a quittés hier à l'âge de 88 ans. Cette perte douloureuse nous offre tout de même l'occasion de faire quelques considérations générales sur sa figure et sur la manière dont il a géré l'Église de Rome ces dernières années. La première précision nécessaire concerne le fait que Bergoglio, techniquement, n'a jamais été Pape : comme nous l'avons montré largement dans notre livre « La fin du christianisme », Benoît XVI n'a jamais renoncé au munus petrinum, mais a seulement renoncé au ministerium : expliqué en termes très simples, Ratzinger a renoncé à exercer le rôle de Pape sans jamais renoncer à ce rôle. Avec la conséquence évidente qu'il est resté jusqu'à la fin Pape : pour cette raison, l'élection de Bergoglio en 2013 a été un acte nul plutôt qu'invalide. Comme chacun le sait, il ne peut y avoir qu'un seul Pape, et l'on ne fait pas de nouveau Pape tant que celui en fonction n'est pas mort ou n'a pas renoncé au munus, pas au ministerium. Ainsi, en fin de compte, le siège papal est vacant depuis le 31 décembre 2022.
- La Russie, une « armée apprenante » plus puissante qu’au début de la guerre
- Le mur d'Hadrien, un moyen de défense aussi complexe qu'ingénieux
- Métapolitologues et stratagèmes
- Les chroniques de Youssef Hindi : Israël au-dessus du droit international ?
- Pléthon, Sparte et Zarathoustra
- Une sculpture découverte à Pompéi bouleverse les idées reçues sur les femmes dans l’Antiquité
- Canis Pugnax: LE CHIEN de COMBAT MORTEL de l’ARMÉE ROMAINE !
- Sur la géopolitique de l'Iran
- Andrei Martyanov : La fin de l’OTAN
- Les déesses du Panthéon scandinave
Page 4 sur 804